mazalda


Le Temps (Suisse) - 28/09/2017

"Avec le groupe Mazalda, plateforme évolutive, d’électronique rapiécée et de rock à cuivres, Saidi invente le raï du troisième millénaire, une chose née sur les pistes de danse, qui dit l’urbanité cosmopolite autant que les vents du Sud. Sa voix, déjà, d’une férocité sèche, tranche avec les joliesses de la pop arabisée que l’on écoutait en France dans les années 1980. Tout respire la synthèse, l’urgence, la beauté brute [...]. Sofiane Saidi, c’est le pari de la rencontre." Arnaud Robert


France Culture - Ping Pong - 1/12/2016

"… voilà qu'aujourd'hui, les lyonnais de Mazalda, habitués à braconner du côté du jazz, de la musique indienne et même de l'univers, transplantent le raï dans leur constellation. Avec le projet Super Orion, ils le transmutent en musique du futur avec la complicité du sulfureux crooner algérien Sofiane Saidi, mais aussi de Mohamed Ben Amar et des alchmistes du mbalax sénégalais, Khadim Niang et Bouna Ngom. Synthé '70s, derbouka, tama, trompette ou encore saxophone électronique nous invitent dans leurs secousses raï et électro, et un voyage intersidéral." Martin Quénéhen

Radio Nova "Aime" - 29/11/2016

"Les musiciens de Mazalda invitent Sofiane Saidi à se joindre à eux. Entre la métissage et la tradition, il les complète dans un monde à part, sourcé dans un panel terriblement varié. Quelque chose nous dit qu'on en entendra encore parler."

France-Musique - Ocora Couleurs du monde
- 12/11/2016 - Live au studio 105

"… ils [Mazalda] ont pris au sérieux le raï, ils ont appris à le jouer, ils ont été rencontrer des vieux musiciens pour apprendre cette musique, ils ont détuné leurs instruments, ils ont appris les intonations, les quarts de ton, et ils ont profondément respecté une musique populaire, et ça je trouve ça très beau et je trouve ça très admirable de leur part, et par ailleurs ça groove méchamment." Sébastien Lagrave


Le Petit Bulletin

Super Orion bouscule le raï

"Mazalda, combo d'alternatifs ambianceurs férus de pulse afrobeat et de sono mondiale camouflée façon Sublime Frequencies, s'aventure dans un projet au nom 70's en compagnie de la voix de miel de Sofiane Saidi : ça s'appelle Super Orion et vous allez en entendre parler." Sébastien Broquet


Télérama - sortir

"Plongée rock fiévreuse dans le raï des eighties, avec synthés en grande pompe, groove psychédélique, rythmes trépidants de mbalax sénégalais ou de transe gnaouie, et la voix grave, âpre et abrasive du chaleureux Sofiane Saidi." Anne Berthod


Le Petit Bulletin N°850 - 21/09/2016



La Tribune de Lyon (26-mars-1er avril 2015)

"[...] ne ratez pas le raï psychédélique du groupe lyonnais Mazalda, réinterprétant les musiques traditionnelles avec des arrangements contemporains [...]"


Vibration Clandestine n°27 (sept/oct 2013)



Le Courrier de l'Ouest (20 août 2013)



Le Progrès.fr (1er août 2013)

"Turbo Clap Station : l’ovni à danser"


Le Progrès (17 juin 2013)



Vibrations (CH) (mai 2013)





Froots (GB) (mai 2013)


"A crowd gathers for a concert on the outside stage that promises to be a spectacle. Sound systems directly inspired from the streets of India, and dozens of loudspeackers create a dynamic backdrop for Mazalda - Turbo Clap. It's popular and very loud!!!"


Rock and Pop (République Tchèque) (mai 2013)



Marianne (28 mars 2013)

"Transe psychédélique assurée avec Mazalda - TurboClap et ses cinquante trompes haut-parleurs : entre raï et sound-system indien, cet "engin de fête" initié par des français a galvanisé la foule."


Marseille - L'Hebdo (27 mars 2013)




La Marseillaise (25 mars 2013)

"[...] Impact similaire pour les français de Mazalda, surplombés de leurs trompes hauts-parleurs. Mélant sonorités fanfare, beats, rock psyché (surligné de guitare wah-wah), jazz-rock. Ils oscillent entre transe enflammée et flânerie dub en forme de trip. Bien vu."


modomix.com (mars 2013)

Né dans l'Est de la France à l'aube des années 2000, Mazalda diffuse une ambiance psychédélique imprégnée de groove urbain, de transe napolitaine en passant par le huayno du Pérou et le raï. Sound-system des rues en Inde, leur Turbo clap station menée par les six multi-instrumentistes est prolongée par cinquante haut-parleurs qui amplifient la fête exotique.


mondomix (sept/oct 2012)




amply (février 2012)



Mazalda, dancing machine


Classer entre Battles et Omar Souleyman.

Pensez à un bal d’été. Les lampions s’allument peu à peu, les gens se regroupent pour danser. Il fait chaud, les premières notes retentissent : musique de transe, airs traditionnels indiens, raï, rock progressif, claviers analogiques, son funky et poisseux, porte-voix et cuivres. Les gens sourient, lèvent les bras, émettent des sons, bougent leurs corps,  portés vers une fête spatiale et hypnotiques.

On voyage loin, avec Mazalda, mais sans jamais se perdre grâce à une étrange formule chimique dont le sextet a seul le secret.

L’effet  de leur musique est démultiplié quand on a la chance de les voir dans la formule Turbo Clap Station qu’ils proposent lorsque les conditions (le plus souvent en plein air) le permettent. Inspirée des sound-systems de rue indiens, la Turbo Clap Station est un engin de fête psychédélique : 50 trompes-haut-parleurs immergent les musiciens, l’ingénieur du son et le public, emportant chacun dans une expérience de transe exotique.

Parallèlement à Mazalda, les musiciens font tourner une galaxie de projets dans des genres aussi divers que peut l’être leur musique : Direction Survet (rock progressif), Gilles Poizat (folk-pop), Carina Salvado & Um Fado (Portugal et King Crimson), La Squadra Zeus (Italie du Sud), Lindo y Querido (Mexique)… [...]


novorama (janvier 2012)

MAZALDA : Tammuriata

Mazalda, ovni total en France, propose une musique aux confins de la musique de trance indienne, du raï (ou de Omar Souleyman pour ceux qui connaissent), du math-rock à la Battles (toujours pour ceux qui suivent) du funk et du dub... Bref il faut les voir en live, se prendre une énorme claque ou plutôt un coup de pied au fessier qui vous le fera remuer, pour mieux comprendre :)

Dans le milieu ''arts de rue'' ils sont déjà très reconnus (ils ont joué à maintes reprises à Chalon dans la rue et à Aurillac, deux gros festivals du genre en France). Ils méritent de percer auprès du public indé tant leur répertoire est insolite.

Vous pourrez les voir à Paris au Petit Bain ce samedi 14 janvier avec IMPERIAL TIGER ORCHESTRA (superbe formation reggae/ethio-jazz mais pas que;)

Omigmigo